Deux d'entre eux sont immédiatement écroués, puis libérés le 22 décembre 2020, sous contrôle judiciaire strict, les deux autres sont placés sous contrôle judiciaire.
Le coup d’État ayant réussi, ces conventionnels, anciens représentants en mission et suspects de prévarications, le firent écrouer pour le faire taire.
Certains dissidents connus n'étaient pas écroués mais leur téléphone était mis sous écoute, leur courrier était surveillé et ils pouvaient être appréhendés sans motif.