Il les réunit aussi dans de fréquentes agapes où furent toujours bruyamment portées les santés impériales et préfectorales et où son esprit d'à-propos, sa mémoire des noms le servaient admirablement.
En vertu d'une décision prise le 16 décembre 1876, chaque membre, sous peine d'amende, devait composer quelques vers, tout au moins un quatrain, pour les prochaines agapes.
Tirant profit de cette erreur, ils menacent alors les pirates de « tout manger », plan qu'ils appliquent aussitôt en réjouissantes agapes, laissant les pirates effarés et affamés.