Une exception est l'expression « anévrisme mycotique », complication classique d'une endocardite infectieuse, mais qui n'est pourtant causée par aucune mycose.
Contrairement à l'anévrisme de l'aorte abdominale, l'athérome ne semble pas jouer un rôle majeur dans la formation d'un anévrisme de l'aorte ascendante.
S'il existe un anévrisme il est possible de proposer un traitement préventif reposant sur une exclusion de celui-ci par voie endovasculaire ou par voie chirurgicale.
Le saignement responsable peut être de plusieurs origines, la plus fréquente (85 % des cas) étant représentée par la rupture d'anévrisme d'une artère du cerveau.