Jusqu'aux années 1960, le kapok constituait une marchandise d'exportation intéressante mais aujourd'hui le négoce est centré sur le bois d'œuvre pour la production de contreplaqué.
Le kapok fournit aussi une alternative biodégradable aux adsorbants d'huiles synthétiques ou d'hydrocarbures lors de pollutions, suite aux naufrages de pétroliers par exemple.