L'utilisation de fleurs artificielles, délivrant une solution sucrée et odoriférante, a permis de mettre en évidence la mémoire olfactive des abeilles.
Des centaines de photos, plans ou maquettes les accompagnent, retraçant le travail et la mémoire des générations d'ouvriers ou de paysans qui les ont utilisés.
Il abordera également l'entomologie (sur le bombyx du mûrier, historiquement le premier mémoire consacré à un invertébré) et l'embryologie (formation de l'embryon de poulet).
Pour mémoire, cette racine aurait été : phénicienne (purami, branchu/ombragé), grecque (pyrénos, enflammé/blond) ou celte (bir, pointe/sommet) ou (pyr/poire).