Selon lui, le refus de leur demande de titre de séjour les rendrait expulsables vers un pays où ils risquent des « traitements inhumains ou dégradants ».
À cause des délais légaux et de la trêve hivernale, les familles, qui devaient de toute manière être relogées par la ville de Paris, n'auraient été expulsables qu'en avril 2006.