Caplan nomme préjugé pro-emploi (make-work bias donc littéralement "création d'emplois artificiels") la "tendance à sous-estimer les avantages économiques de l'absence de plein-emploi".
Dès lors, est promue l'usage de techniques traditionnelles et la sanction, en cas de contravention aux nouvelles dispositions, allant jusqu'à la disqualification (hansoku make).