Les régimes fibreux favorisent une plus grande proportion d'acétate dans l'intestin des ruminants, ce qui entraîne une augmentation de la production de méthane qui doit être libéré par éructation.
La révélation, lorsqu'elle arrive enfin, noyée dans l'éructation exacerbée des émeutes, ne peut que s'avérer décevante, une « chute », au sens propre du terme, « extraordinairement faible et sans effet », conclut-il.