Cet outil permet d'apprécier les différentes composantes du langage pouvant dysfonctionner de manière à estimer le type de syndrome aphasique que les patients peuvent présenter.
Rapidement il s'intéresse à la réadaptation des personnes aphasiques et puis consacre une partie de son travail dans la réadaptation des victimes de brûlures graves.
L'étude soutient l'hypothèse que les réponses des mouvements oculaires seraient différentes entre les individus neurologiquement normaux et aphasiques.