Malgré quelques signes d'assouplissement politique et d'ouverture économique, le pouvoir doit faire face à une effervescence croissante des milieux intellectuels.
Le maintien de faibles taux sur une longue période, est un objectif qui peut justifier la politique d'assouplissement quantitatif lancée en janvier 2015.
En d'autres mots, l'assouplissement quantitatif redécouvre la passivité, l'endogénéité du crédit, son rôle uniquement d'amplification des cycles économiques et non d’entraînement.
Cependant, si l'assouplissement quantitatif est une forme de création monétaire, celle-ci est ciblée vers les marchés financiers sous forme de monnaie banque centrale.