Ses trois premières fictions explorent le thème du double en faisant la part belle au voyage et à la figure obsédante de la bâtardise, qu'elle soit ethnique, sociale ou stylistique.
Cette action, que ses prédécesseurs n'avaient pas réussi, lui valut un regain de popularité de la population qui lui reprochait sa bâtardise et son alliance avec les mamelouks.
Ces titres faits pour cacher la "bâtardise" de son père, parurent faux au procureur du roi qui présenta des conclusions aux fins de rejet le 1 août 1667.
Par conséquent, l'enfant qui naîtrait d'une femme n'ayant pas été libérée (n'ayant pas reçu le guett) serait considéré comme mamzer (illégitimité, bâtardise issue d'un adultère).
Il ajoute que le jeune prince témoignait à treize ans d'une telle intelligence et d'une telle culture qu'il était bien digne, malgré sa bâtardise, de succéder à son père.