Le 1 décembre 968, il est promu comme sâhib al-mawârîth c'est-à-dire curateur des successions vacantes, chargé de l’administration des biens en déshérence.
A partir de 2012, elle abandonne la littérature (romans), le cinéma et la télévision (scénarii) pour l'art contemporain en tant qu'artiste et curatrice.
Alors le juge leur nommait un curateur, auquel s'adjoignait généralement un avocat qui prêtait le serment de présenter leur défense avec zèle et probité.