Elle retire de cette activité un encouragement pour ses « jeunes » avides de sorties : le sentiment d'avoir bien travaillé pour l'École laïque, d'avoir aidé certains déshérités.
Les populations pauvres, appelées mostazafin (en persan : ﻣﺴﺘﻀﻌﻔﻴﻦ, « déshérités »), habitent en majorité dans le sud de la ville, souvent dans des bidonvilles.