Après le coup d'État argentin de 1930, les nationalistes ont fermement soutenu l'enracinement d'un État corporatiste autoritaire dirigé par un chef militaire.
À mi-chemin du syndicat, du parti et du réseau clientéliste, ce groupement fonctionne comme une caisse de résonance pour des notables soucieux d'enracinement populaire.
L'autonomie par rapport aux institutions ecclésiastiques n'empêche pas que chaque société a généralement un enracinement national et une orientation théologique assez marquée.