L'appellation « entre-deux-guerres », utilisée pour cette période, est un chrononyme rétrospectif à prendre avec recul, car elle ne retranscrit en rien l'esprit de l'époque.
Durant l'entre-deux-guerres, le droit aux congés payés et l'apparition du tourisme populaire dans la région de production ont contribué à la réputation de cette fraise.
Composée d'une vingtaine de pages illustrées, cette revue suivait et commentait l'actualité de l'entre-deux-guerres avec un ton affirmant son idéologie libérale.
La plupart du temps, on trouve cette expression au pluriel, qui vient en contrepoint à l'expression « nouveaux riches » apparue pendant l'entre-deux-guerres.