Ces révoltes ont pu rendre plus complexes le maintien et le développement de sociétés esclavagistes et même contribué à accélérer le phénomène abolitionniste.
Plusieurs revues contemporaines de l'époque notèrent le pathétique que la peinture évoquait, et associèrent l’œuvre à la littérature anti-esclavagiste « radicale » ou « sentimentale ».