On avança alors l’hypothèse suivante : ces sculptures rupestres pouvaient se rattacher aux écritures idéographiques, indonésiennes et pascuanes, où l’on retrouve fréquemment le serpent et la tortue.
Ce sont des énumérations de signes idéographiques ou phonétiques, classés selon un principe pré-défini, et souvent divisées en diverses colonnes, expliquant ou traduisant dans une langue un signe déterminé.
Si les deux civilisations peuvent être rapprochées par leur usage d'une écriture idéographique, elles n'ont aucun élément culturel en commun du point de vue archéologique et culturel.
L'homophonie vient du fait que l'écriture sumérienne avait de nombreux homonymes, qui étaient à la base marqués par des signes idéographiques différents.
Cette dernière nous montre les premiers signes idéographiques représentant les centres urbains, qui occupent dès lors une place prépondérante dans les mentalités.
C'est un système comprenant pour partie des signes idéographiques, représentant un mot en entier, et des signes phonétiques, représentant des syllabes.
Ce fut d'abord le long règne du cunéiforme, de style assyrien (signes gravés, de la forme d'un coin), puis s'imposèrent un temps les hiéroglyphes, signes figuratifs ou idéographiques.