La leptine est donc un candidat possible pour établir un lien entre l'obésité et l'arthrose, et sert d'objectif putatif pour le traitement nutritionnel de l'arthrose.
Toutefois, bien que de fiabilité partielle, ce système permet d'identifier, dans certains types de matériels génétiques, un certain pourcentage des individus haploïdes putatifs.
Selon les premières études phylogénétique disponibles, l'histoire évolutive de ces gènes serait complexe, ayant connu « une diversification potentielle de trois formes ancestrales de réflectines putatives ».