Si les compositeurs du chant grégorien ne retinrent pas la quantité du latin classique telle la strophe saphique, c'était vraisemblablement grâce à la beauté esthétique des lignes mélodiques selon l'accentuation.
Dans la strophe grecque originelle, on considère souvent que le troisième grand saphique et l'adonique ne constituent qu'un seul grand vers de seize syllabes.
Ayant perdu toute sa fortune et sa femme qui vit une relation saphique avec une artiste hongroise, il tente de reprendre sa place dans un monde qui lui apparaît dévasté.
Écrites en un latin clair et spontané, mêlent à des distiques élégants des morceaux d’une autre forme, entre autres des odes saphiques et des vers hendécasyllabiques.