Cela marque en tout cas une rupture successorale, puisqu'il ne semble pas lié aux rois précédents, sous l'autorité desquels il occupait la fonction de prêtre.
À noter que l'actuelle loi successorale (alinéa 3 de l'article 10 modifié de la Constitution de 1962) prévoit la renonciation à ses droits d'un dynaste.