Malgré son installation très à l'étroit, le pilote est équipé d'un siège éjectable fonctionnant à la cordite, de bouteilles d'oxygène de secours et d'un parachute.
C'est la première fois qu'il dispose de cette matière mais par la suite, seront préférées la mélinite, la tolamite, la cordite ou la traditionnelle dynamite.
Souvent c'étaient des locomotives diesel qui tiraient les wagons de cordite, pour limiter le risque d'inflammation par des escarbilles perdues par les cheminées de trains à vapeur.