Il était l’ennemi acharné des pochades et des bambochades, prétendant que seuls les gens très habiles et d’un gout tout à fait formé pouvaient se les permettre.
Le gout devait en être salé, mais pas trop car les recettes avec du murri comprennent aussi du sucre, aigre-doux et surtout aromatique, probablement une sorte d'umami.