Cette « aygue ardente » (eau ardente) n'était pas vraiment une boisson (les alambics de l'époque en faisaient un produit peu parfumé), mais surtout un remède d'apothicaire.
Son statut d'apothicaire lui permettait de faire les deux alors que les médecins-chimistes devaient enseigner en robe et ne pouvaient se salir les mains.