La tendance actuelle est de prescrire systématiquement un traitement antiviral, de façon à éviter les douleurs zostériennes, atténuer les symptômes et accélérer la cicatrisation.
Un traitement antiviral précoce n’est requis que pour moins de 1 % des patients, dont l'infection a un cours très agressif (hépatite fulminante) ou qui sont immunodéprimés.