L'économie locale se réoriente alors vers le giroflier et l'indigotier, et le surplus humain est ainsi directement absorbé par l'île, qui devient un des principaux fournisseurs mondiaux de ces épices.
Délicieusement exotiques, elles étaient peintes avec deux couleurs dominantes, le rouge, tiré de la racine de garance et le bleu, extrait de l'indigotier.