Ces déverbaux apparaissent également avec des verbes « psychologiques » tels que avoir peur de et se mettent alors habituellement au cas possessif (désinence -q).
L’araki possède plusieurs types de marqueurs personnels : pronoms personnels indépendants, clitiques indiquant le sujet, suffixes indiquant l’objet et suffixes possessifs.
De même qu'en finnois ou en hongrois, les rapports de possession s'expriment au moyen de suffixes possessifs, le déterminant se trouvant généralement au génitif.
Certains grammairiens aujourd'hui n'utilisent même plus le terme d'adjectif déterminatif ou d'adjectif non qualificatif, et parlent simplement de déterminant possessif, de déterminant démonstratif, etc.