Ces journaliers sont soumis à l'arbitraire de l'embauche quotidienne, aux taux usuraires par lesquels ils doivent rembourser les avances en nourriture ou en semences (souvent plus de cent pour cent).
On exige un retour au travail pour le 22 janvier, sans quoi des mesures coercitives seront mises en place : congédiement de tous et retour au processus d’embauche initial.
Les sujets débattus portent sur l'entretien des biens communaux, moulins, fontaines, fours, pressoirs, de l'embauche de gardes-champêtres ou du montant des impôts communaux.