Roman de l'idéologie centralisatrice, méprisant pour l'ethnie bretonne, ce ramassis de “sauvages”, ou roman fasciné par la “barbarie” et donnant la parole, poignante, sans espoir, à ce peuple muet ?
Et il n'en continue pas moins à vitupérer « l'État tutélaire, transcendant, centralisé », à dénoncer « la pression despotiquement centralisatrice de l'État ».