L'équipage s'entraîne donc régulièrement à faire face à une dépressurisation : la station est équipée de détecteurs de perte de pression qui permettent de calculer à quel moment l'atmosphère deviendra irrespirable.
Durant la descente vers le sol un joint torique lâche, entraînant la dépressurisation de la cabine, et l'ouverture prématurée des parachutes du vaisseau à 5 km d'altitude.